Les Compagnons de la Lance
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Les Compagnons de la Lance

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 Gaelian Orkney

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AuteurMessage
Gaelian
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Gaelian


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Localisation : Saint Etienne
Date d'inscription : 08/05/2007

Feuille de personnage
classe:: Maître d'arme
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MessageSujet: Gaelian Orkney   Gaelian Orkney Icon_minitimeMar 8 Mai - 20:04

Je suis Gaelian Orkney, homme d'arme engagé pour défendre le royaume des ennemis internes autant qu'externes...

Mon histoire débute il y a bien longtemps, dans les terres froides du royaume, non loin des frontieres enneigées de la citadelle de Snowdonia...
Ma petite jeunesse se passa comme celle de beaucoup d'enfant de mon clan, à travailler en aidant les hommes aux travaux de labour, de culture, puis un peu plus tard, de la chasse... La chasse etait évidement mon activité favorite puisqu'on y manipulait des armes, qui nous donnaient la puissance et la superiorité sur les betes alentour.
Un jour oû nous étions partis chasser l'ours, nous fumes surpris par une tempête de neige qui nous aveuglait, mais le village avait trop besoin de nourriture pour que nous puissions rentrer sans viande...Nous decidâmes de continuer notre traque malgrés les morsures du froid, du vent, et de la neige.
Apres un long moment de marche, mon père ne reconnu plus du tout les lieux que l'on devinaient à peine, nous etions immobilisés par la force du vent et le poid de la neige...
C'est alors qu'au milieux des tourments du vent, nous entendîmes des bruits etranges, des cris, des armes que l'on entrechoquaient.C'est la que l'on vit arriver une horde de troll, nous chargeant leurs armes terribles sorties, pretes à dechiquetter n'importe quoi! Je ne voyais que d'immenses forme sombres se deplacer sans mal dans cette neige,tandis qu'elle etait sur le point de m'ensevelir,tout ce que j'entendais n'etait que les bruits des lames qui se croisent et les cris des trolls faces a ceux de mon pere, qui tentait en vain de faire face...
Le combat ne dura pas longtemps, devant la force des trolls, mon père et ses compagnons étaient tombés et moi, je ne voyais plus rien, la neige me recouvrait,me brulait, mais j'etait caché...
Je m'efforcais de ne faire aucun bruit en attendant que les monstres repartent.
quand je mi la tête hors de la neige, le spectacle d'horreur me rendit fou!Je ramassais la claymore tenue par la main encore crispée de mon père.
Des larmes coulaient le long de mes joues,qui brulaient dans le froid.Je trainais la lourde lame par terre en marchand dans une direction que j'ignorais.
Apres avoir marché jusqu'a épuisement dans la tempête qui disparaissait,je vit au loin un homme qui marchait d'un bon pas dans ma direction, oubliant les monstres, je l'appelait a l'aide, ce qu'il fit bien vite en voyant mon jeune âge.Il me proposa sa cape pour me rechauffer puis me prit avec lui pour cheminer jusqu'en d'autres terre moins hostiles...
Apres avoir discuté un peu, j'apprit qu'il était plus ou moins au service du Roi Kystenin, et qu'il avait pour rôle de surveiller les zones frontalières, ce qui expliquait sa présence en ce lieu.
Quand enfin nous arrivâmes, je reconnu le chateau de Swanton, pour y avoir été une fois avec mon père pour règler je ne sais quel problème.
Il enfourcha un grand cheval et me mît derrière lui, me disant qu'il allait me mener auprès des miens.La tension qui avait grandit en moi disparut à l'idée de revoir ma mère et tous les autres villageois.
J'étais plongé dans mes pensées quand tout a coup il me montra du doigt une direction, d'oû s'élevait une grande fumée noire, elle provenait a coup sur de mon village!Je ne voulais pas y croire.Le cheval se mît au galop sur les ordres de mon bienfaiteur.
En arrivant en vue du village, il ne restait rien,aucun signe de vie,rien que les flammes dansantes sur les corps et les chaumières.Le cheval fît demi tour et nous repartîmes d'oû nous venions.

Après plusieurs semaines à vivre au milieux des gardes du chateau,celui qui était devenu mon seul ami me demanda ce que je comptais faire, si je connaissais un metier à pratiquer, mais je ne connaissais que les armes et les rudiments de la culture...
Entendant cela,un chevalier m'interpella après nous avoir salué:
-Tu dit savoir manier les armes petit?
Tu veut parler de cette épée trop grande pour toi?
-Je...non, pas celle la, elle est bien trop grande pour moi, mais si j'en avais une à ma taille, je vous montrerais ce que je sais faire de mes bras!

Après quelques temps en compagnie de ce chevalier,j'apprit que la force ne suffisait pas pour gagner un combat,il me prit sous sa tutelle et m'enseigna l'art du combat a l'épée,et mon sauveur m'enseignait les lettres et l'art de vivre en société, en me racontant les grandes salles ou se tenait la cour du Roi,les gardes en armures étincellantes...
J'en arrivais à rêver de devenir comme ces grands hommes,puissants et respectés.
Une année passa et le chevalier et le mage (car je découvrit plus tard ce qu'il était vraiment) me demandèrent de les accompagner au coeur du royaume, pour voir Camelot et ses gardes, ce qui fut pour moi l'accomplissement d'un rêve.
Le voyage fût long, bien trop long à mon goût,mais les chevaux ne pouvaient pas aller plus vite à mon grand déséspoir.
Quand enfin nous arrivâmes en vue de la cité royale, je crût a une hallucination,des pilliers, beaux, alignés comme une rangée de soldats protegeaient l'entrée de la cité.Les gardes nous saluaient,quand nous passions devant eux, et je compris alors que mes compagnons étaient des personnes de haute importance dans le royaume.
Une fois entrés,ils me dîrent qu'il était temps pour moi de choisir la voie que je voulais emprunter et que pour cela,il me fallais me renseigner sur les differents choix qui s'offraient a moi.Je devais donc marcher seul dans la ville en cherchant des personnes qui pourraient me renseigner.
Mes recherches furent longues et difficiles car les gens n'etaient pas aussi bavards que la ou j'avais vécu mais je trouvait toujours quelques braves gens pour m'aider...On m'expliqua la presence de l'Eglise et ce que j'y trouverais, mais les choix de l'eglise ne m'auraient jamais permis de venger les miens...
Alors que je me dirigeais vers une auberge,un homme m'attrapa et me tira dans un recoin!Je comprit bien vite qu'il ne comptait pas me laisser partir avec ma bourse, et sa dague sortie m'en avait convaincu.
Le gaillard fût bien surpris en voyant que je savait aussi me battre.Il m'assenait de rapides coups tandis que je m'efforcait de lui en porter mais son agilité était sans faille.Il me mît un vilain coup au visage,qui me fît perdre conscience...

Quand je repris connaissance, j'était entouré d'hommes d'armes,étonnés que je ne fût pas mort.En effet,la dague m'avait percé un oeil et j'aurais très bien pu mourrir de cette blessure,heureusement les soins prodigués par un moine me permirent de me remettre sur pied rapidement.
Mon choix était fait,j'allais rejoindre les Defenseurs d'Albion,la carrière m'était predestinée me dit le chevalier,j'avais les talent requis pour y entrer et prendre du grade au sein de cet ordre.
Je devint donc l'un de ces hommes, dont le combat fait partie de la vie de tous les jours, et les combats furent nombreux,tant en victoires qu'en defaites.J'ai servit la Lumière (Le Saint-Cercle il y a très longtemps) et les Ténebres(Les Damnés), ce qui fait de moi, je le croit, quelqu'un d'entier dans ses actes et paroles.
Au cour de mes périples je fît connaissance de nombreuses personnes qui partagèrent toutes un instant plus ou moins long de ma vie.
Parmis les plus importantes, une paladine, Abigael pour qui je serai mort milles fois si il cela avait été nécéssaire,ainsi qu' Hermionn, une jeune femme unique, avec qui j'ai tissé des liens plus forts que l'amour,aisément comparables aux liens qui unissent le frère à sa soeur.
Un autre de mes meilleurs compagnons se prénome Vaevictis,un homme d'arme tout comme moi,jovial,aimant la bonne chair comme il le faut!Nombreuses sont les personnes qui compte pour moi et je n'ai pas de quoi les remercier comme je le voudrait, je ne peut que leur offrire mon amitié en retour, ainsi que l'assurance de pouvoir compter sur moi en tous temps.
Je porte tous mes compagnons dans mon âme,même ceux d'un jour!

En allégeance au Royaume,à Dame Abigael.
Au service des êtres qui me sont chers.
Heureux de la compagnie de quelque personne que ce soit.
En quète d'aventures,en bonne compagnie.

Sincèrement, Gaelian Orkney.
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